Brigitte Macron : « Si un jour ma présence est compliquée, je m’effacerai »

Par JULIE MAZUET

Pour la première fois depuis son arrivée à l’Élysée, Brigitte Macron s’exprime publiquement dans Elle. Confidences d’une première dame.

« Je ne me sens ni première – ni dernière – ni dame ! Je suis Brigitte Macron.» Dans un entretien exclusif à paraître dans Elle daté du 18 août, Brigitte Macron s’exprime publiquement pour la première fois depuis l’élection présidentielle et son installation au palais de l’Élysée, il y a trois mois. Une interview fleuve qui sonne comme un premier bilan d’étape. Qu’en retient-on à sa lecture ? La confirmation de la publication d’une «charte de transparence » visant à détailler ses missions (éducation, handicap…) et les moyens qui y seront alloués ; un retour sur ses rencontres loin des médias avec les Français ; et, surtout, un portrait intime en filigrane.

Au fil des questions, l’ancienne professeure de lettres se livre. Elle revient sur son rapport phobique à la mort, lié à la perte d’une de ses sœurs, «à 8 ans», dans un accident de voiture, puis celle d’une nièce «un an plus tard». L’adolescence ? Elle «n’a pas apprécié» malgré des «parents incroyables» qui lui ont inculqué le «respect des autres». «Je pouvais tout faire, même ramener des mauvaises notes, mais [mes parents] étaient extrêmement stricts sur le respect que nous devions à l’autre», détaille-t-elle.

Sans parler de transgression ni de rébellion, Brigitte Macron confie avoir «été souvent collée pour impertinence. Parce qu’à l’école du Sacré-Cœur d’Amiens je ne baissais pas les yeux, jamais. Et on ne me faisait pas entrer dans le crâne une chose à laquelle je ne croyais pas. J’ai eu très tôt un esprit critique». Aujourd’hui au service de la carrière de son mari ? «Je ne le critique pas. Je lui donne mon avis et il en fait ce qu’il veut.» Lire la suite sur madame.lefigaro.fr

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